Présentation de l’association

Les statuts sont en cours de changement : l’association n’accueille plus que des chats inadoptables, ceux dont personne ne veut s’occuper. Les chats sauvages ou sociables sont stérilisés et relâchés sur leur lieu de vie et rentrés chez la présidente s’ils sont malades ou menacés.

Anciens statuts :

Les Chats Du Hasard est une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901.

  • déclarée en préfecture de Haute-Garonne sous le numéro W313014967
  • parue au JO du 6 novembre 2010.
  • Numéro SIRET : 52870152700012

Qui sommes nous ?

Nous sommes une équipe de bénévoles qui a décidé de s’occuper d’un secteur déterminé et restreint : St Orens de Gameville et Auzielle (à 10km de Toulouse). Si nous arrivions à avoir une association par ville, on serait sans doute plus efficace.

Voici l’équipe :

Présidente et siège social : Christine Capel – Sans profession, ex infirmière, ex Attachée Temporaire d’Enseignement et de Recherche à l’université du Mirail.

Pour contacter Christine : 38 bis rue de la querqueille, 31650 St Orens.  Email: chcapel@orange.fr. Voir aussi la page contact pour nous joindre via un formulaire.

Vice présidente : Sylvie maréchal , domiciliée a Laramière , cuisinière de profession – Capacitaire depuis 2008

Pour contacter Sylvie : Tel : 06 29 79 02 24 ou 05 65 23 71 89  ou par Email : vice.présidente@leschatsduhasard.fr

Les Chats Du Hasard, pourquoi ce nom ?

Il vient du roman de Anny Duperey intitulé « Les chats de hasard ». Il s’agit de l’histoire d’une chatte, rencontrée par hasard, qui lui a permis de retrouver son passé, comprendre sa vie… et qui est devenue sa meilleure amie. Nous souhaitons cette rencontre magique à tous nos lecteurs, nos donateurs, nos adoptants, nos bénévoles et surtout nos chats. Une amie, bénévole au Chat Libre de Toulouse, a quitté la ville en m’offrant ce bouquin, au moment où nous cherchions le nom de l’association. Merci Isabelle, tu nous manques.
Comment nous aider ?

Cette association fonctionne uniquement grâce à vos dons et votre générosité. Depuis 2011, la mairie de st orens donne une subvention de 1000 euros par an pour steriliser les chats de st orens qu’on sterilise et relache. Le refuge, lui, ne fonctionne que grace aux dons, remboursement d’une partie des frais lors de l’adoption d’un chat, vide grenier, quelques actions sur internet… les dons servent ausi à steriliser les chats qui depassent la subvention ou chats qui se trouvent à auzielle, et montaudran, assure les soins dont ont besoin parfois les chats qu’on a sterilisé mais aussi à leur nourrissage quotidien sur des ilots

L’association compte :

Des membres actifs et bienfaiteurs , des adhérents , et des donateurs .     Un membre est reconnu bienfaiteur lorsqu’il fait don d’au moins 20 euros par an. Pour devenir membre bienfaiteur rendez-vous à la page : adhérer ou faire un don.

Membres actifs : il s’agit de ceux qui s’impliquent bénévolement dans la vie de l’association. Ceux sont les membres du bureau, les familles d’accueil, les nourrisseurs de chats, les captureurs, les bénévoles d’un refuge (s’il en est ouvert un dans l’avenir…). Pour devenir membre actif de l’association rendez-vous à la page : devenir bénévole.

Vous pouvez consulter :  les statuts de l’association et pourquoi paz, vous présenter pour nous aider dans notre combat

Quels sont nos buts ?

1 – Stériliser les chats errants sauvages et constituer des îlots de nourrissage.

Ces chats, nés dehors, suite à l’abandon de leur parents ou ancêtres proches et lointains par nos concitoyens, subissent le froid, la faim, la soif, la maladie, la peur, l’accident, la maltraitance. Il faut, si nous ne pouvons les rendre sociables afin d’etre adoptés, limiter le nombre de ces miséreux en les stérilisant (2 portées de 4 en moyenne par an pour chaque chatte, ils sont sans doute des milliards dans Toulouse et sa périphérie). Il s’agit de traiter le problème autrement que par l’euthanasie de masse. Le chat est un animal domestique, protégé par la loi, nous ne cesserons de le rappeler à tous ceux qui menacent de les tuer

Certains citoyens évoquent les nuisances : nous répondons que la stérilisation est la solution la plus humaine et surtout la plus efficace.

La solution la plus humaine contre :

  • contre les nuisances sonores au moment des chaleurs, au moment des bagarres de mâles non castrés, et les nuisances des odeurs d’urine des mâles non castrés.
  • contre les naissances de chatons dont les personnes se débarrassent parfois de manière peu humaine
  • contre les maladies « sexuellement » transmissibles

La solution la plus efficace : pourquoi ? Les agents de fourrières n’ont pas le temps de reperer tous les chats sur un lieu signalé. Il faut laisser les males entrer dans les pièges, ressortir, donner confiance aux femelles… Quelques femelles malignes continuent donc à reproduire des miséreux… et les autres meurent sous le gaz ou l’injection létale.

2 – Les nourrir et les surveiller après stérilisation sur leur lieu de vie

Nous aiderons comme nous le pourrons les personnes qui nourriront ces chats et surveilleront leur santé. Sauf exception de particuliers qui nourrissent un ou 2 chats, les chats se regroupent en principe en îlots de nourrissage. Contrairement à ce que l’on entend souvent, le chat ne se nourrit pas uniquement de souris. Le nourrissage est essentiel, surtout depuis la fermeture des bennes à ordure. Il doit être établi en des points non gênants pour les riverains et non dégradants des lieux publics ou privés. Le cas échéant, il sera expliqué aux riverains et à la mairie, la philosophie de l’association.

3 – Identifier les chats stérilisés et relâchés sur leur lieu de vie

Le chat sera doté d’un tatouage indiquant qu’il est stérilisé et qu’il est protégé par l’association. Nous demanderons aux mairies de reconnaître cela par une signature de convention, ainsi que les syndics de copropriétés, constructeurs d’ensembles immobiliers, entreprises… Les chats stérilisés seront tatoués H (pour hasard) suivi du numéro d’ordre. Nous tenons un registre. Des panneaux pourront être posés sur les lieux de nourrissage pour avertir

Si nous pouvions tous les mettre à l’abri d’une refuge avec enclos afin de leur eviter la malveillance mais aussi les voitures, chiens, renards… mais ils sont encore trop nombreux et nous pas assez riche et surtout en nombre pour faire les gamelles, les litières, les sols, les soins qui s’imposent en collectivité (vaccins, deparasitage…)

4 – Placer les chats sociables

Dans la rue, 3 sortes de chats :

ceux nés dehors sans contact humain et qui ont perdu leur domesticité. Pour eux la solution est la stérilisation/ relâchage.

ceux lâchement abandonnés ou égarés ou orphelins de leur maître décédé : il faut tenter de leur trouver une nouvelle famille. Mais notre « refuge » accueille dejà 40 chats difficiles à placer, nous ne pourrons en accueillir plus. Nous cherchons donc des solutions auprès d’autres associations

ceux qui ont un maître qui les laisse dehors, sans les nourrir, les soigner, les abriter, voire les maltraite physiquement : il faut tenter d’éduquer le maître ou intervenir par signalement à la justice et le replacer.

5 – Eduquer les citoyens

Des interventions devraient etre effectuées dans les écoles, lycées, associations des environs (sud est de Toulouse) afin d’éduquer les personnes au respect de l’animal comme de la planète, de sensibiliser à l’abandon, la stérilisation, à la prévision de l’avenir de l’animal en cas de décès ou de longue maladie… mais, faute de benevole, l’education ne se fait qu’au moment des captures, auprès des citoyens concernés. Le chat forgeron, association st orenannaise, s’est lancé dans des interventions dans les ecoles.