Charlotte

Charlotte femelle isabelle de 3 ans. décès de ses propriétaires en novembre 2010

arrivée à l’association en décembre 2010, stérilisée, tatouée, testée négative

ramenée chez elle car déprime et ne mange pas. habituée à une vie heureuse, sa maison lui manque. nous allons la nourrir chaque jour et elle a accès à l’intérieur pour s’abriter

été 2011 blessure patte soignée. abcès incisé.

Septembre 2011, charlotte tente de s’installer chez les adoptants de Anoï qui habitent à coté de chez elle. la présence humaine commence à lui manquer? la route est passante, c’est inquiétant ces aller retour. vite une place pour elle… qui supportera les miaulements le temps de l’adaptation sur le nouveau territoire.

ET bien, Charlotte a choisi de vivre avec Anoï. un chat du hasard quoi!

11/01/12 adoptée. longue et heureuse vie petite chatte de ferme apprivoisée.

et bien non! erreur sur la personne, la chatte adoptée par la famille d’anoï ressemble à Charlotte mais ce n’est pas elle. erreur de lecture du tatouage, on a cru que… très drole caron a failli faire un contrat adoption sans verifier… hum! donc chatte tatouée mais un peu difficile à lire cherche ses proprios.. et charlotte est à l’adoption!

inadoptable puisque pas possible de l’enfermer où que ce soit… elle est dehors… enfin, je viens d’apprendre que la voisine l’attire chez elle… à la ferme, notre nouvelle demeure, elle n’a plus sa place: frankie la bagarre, les pièces occupées… un abri certes mais elle ne semble pas y aller

frankie etant parti, elle a repris sa place.

mai 2014 tumeur mammaire importante et de très mauvaise augure. opérée.

juin reapparition de la tumeur et elle fait des « petits »

4 novembre 2014: les tumeurs se sont multipliées, ont grossi, suintent (antibio au quotidien pour eviter l’infection), et hier, sa respiration est devenue discordante (sans doute des metastases pulmonaires ou un epanchement). trop de souffrance, endormie. Ma charlotine de la ferme, celle des tontons partis 4 ans plus tot… reposes en paix. Elle reste à la ferme, entre les lauriers qu’elle aimait tant